Déjà installé sur la nouvelle scène jazz made in France (de Sandra Nkaké à Henri Texier), Armel Dupas ouvre grand les portes de son univers. Ce premier album ressemble à un journal intime où, enrobées d'une électronique douce, les pages seraient des pastels mélodiques, des motifs minimalistes et des bribes de bande-sons de films imaginaires. Le pianiste inspiré que l'on découvre est aussi un compositeur rare, un esthète de l'improvisation, un authentique inventeur d'émotions.